Une vision apostolique pour le 21e siècle
Introduction
Sachant que la fin d’une chose vaut mieux que son commencement1 nous avons l’assurance que l’âge apostolique présent, en ligne directe avec le premier âge apostolique inauguré par Jésus, se dirige vers une manifestation de gloire et d’autorité sans précédent. Mais la progression dans ce parcours ne se fait pas au hasard. Dieu, en sa qualité d’architecte et de constructeur2, a toujours travaillé selon un plan, et il demande aujourd’hui à ses apôtres d’appliquer sur la terre le modèle céleste avec exactitude :
Aie soin, lui fut-il dit, de tout faire d’après le modèle qui t’a été montré sur la montagne.
Hébreux 8:5
Si la Nouvelle réforme apostolique représente la dernière phase du plan global de développement, et sa forme la plus avancée, quelle en sont les étapes clés qui pourront nous conduire des nouvelles outres au vin nouveau? Ayant intentionnellement poursuivi un parcours de transformation apostolique depuis deux ans au sein de notre congrégation, je méditais sur cette question en écoutant C. Peter Wagner. J’étais en fait en train d’interpréter pour lui en français lors d’une conférence que nous avions organisée pour notre ville, Gatineau, dans la province de Québec, au Canada. Je dois aussi mentionner que lors d’une conversation privée, Peter m’avait auparavant exhorté à écrire un énoncé de vision correspondant à mon appel. Ce n’était pas une mince affaire, et je trouvais l’idée plutôt excitante.
Je n’oublierai jamais ce qui s’est passé le lendemain matin. C’était le samedi 16 juin 2012. Je m’étais réveillé vers les 5 heures et toujours au lit, je laissais mon esprit savourer une douce communion avec le Seigneur pendant un bout de temps. Soudain, la vision que je portais depuis des années s’articula dans une révélation claire comme du cristal. J’étais tellement excité que je sautai en bas du lit et descendit l’escalier en courant jusqu’à la cuisine pour l’écrire tout de suite, de peur d’en oublier une partie : Activer la transformation d’églises locales en centres apostoliques et les relier dans des réseaux apostoliques afin d’établir un alignement pour la transformation territoriale.
Dans les prochaines sections, je vais développer les trois parties de cet énoncé de vision apostolique.
1 – Transformer les églises locales en centres apostoliques
Jésus, notre grand apôtre3, est descendu du ciel établir une compagnie apostolique qui envahirait la terre pour changer sa culture en une céleste. Sa stratégie était de s’entourer d’une équipe d’apôtres qui, en essence, recevrait la même mission que lui-même l’a reçue de son père :
Comme tu m’as envoyé (apostello) dans le monde, je les ai aussi envoyés (apostello) dans le monde. Jean 17:18
Cette structure d’un apôtre entouré d’une équipe est le modèle original auquel Éphésiens 2:20 fait écho, et que Paul et les autres apôtres ont suivi dans leurs missions apostoliques. Tout au long de leurs parcours pour établir des églises dans les diverses villes et régions du monde connu d’alors, nous voyons des équipes apostoliques qui avancent avec la grande flexibilité si caractéristique des nouvelles outres. Pourquoi en serait-il différent dans nos églises locales aujourd’hui?
L’image traditionnelle de l’église locale que nous avons l’habitude de voir est soit celle d’un conseil d’anciens (ou de diacres) dirigeant la congrégation et ayant autorité sur le pasteur, ou celle d’un pasteur comme dirigeant principal de la congrégation, mais surveillé par un conseil d’anciens (ou de diacres) qui s’assure qu’il n’utilise pas son autorité de façon incorrecte. Un regard frais sur les passages des Écritures s’appliquant au gouvernement de l’église montre cependant qu’il y a quelque chose qui cloche dans cette image.
Premièrement, selon Actes 20, versets 17 et 28, les termes anciens et évêques sont équivalents et font référence à ceux qui ont été mandatés par le Saint-Esprit pour paître4 l’église. Deuxièmement, la façon courante qu’emploie le Saint-Esprit pour nommer ces anciens/pasteurs est par un apôtre5. Troisièmement, le mandat donné aux anciens de paître l’église comprend principalement l’entretien, les soins et la protection du troupeau6(tous caractéristiques du ministère de pasteur/docteur) en stricte conformité aux enseignements et instructions de base dispensés par les apôtres.
Nulle part ne voyons-nous des anciens ou des pasteurs fonder de nouvelles églises ni conduire des églises existantes dans des développements majeurs. Ce mandat appartient aux apôtres œuvrant avec des équipes apostoliques. Les exemples en sont nombreux, spécialement avec l’apôtre Paul. Par exemple, Actes 20 :4 nomme sept des membres de l’équipe de Paul qui voyageaient avec lui, pendant qu’une autre partie de son équipe était en route pour les rejoindre à Troas. Luc, le médecin qui faisait fonction de reporter pour l’équipe, faisait partie de ce second groupe. Il est fascinant de lire ses rapports et de suivre cette équipe apostolique aux dons variés se déplacer de ville en ville pour faire avancer le royaume de Dieu.
Deux variations du même modèle gouvernemental se sont développées dans les congrégations nouvellement formées : nous y voyons soit un centre apostolique, avec un apôtre résident exerçant un leadership direct (avec des anciens/pasteurs alignés avec lui), comme Paul qui a passé trois ans à Éphèse7, Timothée qui fut plus tard affecté à Éphèse8, et Tite qui faisait le ministère en Crète9, ou nous y voyons une église pastorale, avec un groupe d’anciens/pasteurs alignés avec un apôtre itinérant qui gardait le contact avec eux par le biais de membres de son équipe mobile, de lettres ou de visites occasionnelles. (La nature relationnelle de l’autorité qu’exerçait l’apôtre peut être vue dans la façon dont Paul s’adressait aux Galates10 en les suppliant, et comment il parlait au Corinthiens comme à ses enfants, leur demandant de lui ouvrir leur cœur11 – ce qui est clairement différent d’un emploi légal ou abusif de l’autorité.)
De plus, même dans les cas où les anciens se voyaient confier la responsabilité de prendre soin de l’église (en l’absence d’un apôtre résident), il n’est jamais suggéré qu’un mode d’entretien soit devenu acceptable pour l’église. Qu’il y ait un apôtre ou non sur les lieux, les églises doivent toujours croître, connaître des changements, se développer. Sinon, elles fonctionnent de façon contraire à la grande commission qui est apostolique dans sa nature et doit continuellement mener à de nouveaux développements.
Comme je commençais à étudier ces choses et à les enseigner à notre congrégation, j’ai réalisé qu’un changement devait s’opérer parmi nous. Nous étions une église en croissance, certainement pas dans un mode entretien, avec une vision fraîche, mais nous étions retenu dans une vieille outre. Pendant près de deux ans, nous avons étudié et nous sommes préparés pour la transformation d’une église locale en centre apostolique. Notre église locale, Le Chemin (hodos), avait jusqu’à un certain degré suivi un modèle apostolique, mais sans la pleine clarté qui nous était maintenant révélée sur les nouvelles outres. J’avais fonctionné comme pasteur principal avec l’autorité d’un apôtre, entouré d’un conseil d’anciens qui m’appuyait, dans un paradigme entre l’ancien et le nouveau.
En décembre 2011, après beaucoup de préparation, et avec l’accord des leaders existants, j’ai démantelé le conseil des anciens et établi une équipe apostolique de 15 personnes/couples pour travailler avec moi. Cette équipe, formée d’après le modèle que nous voyons dans le livres des Actes, est mobile et flexible, est composée de gens avec des dons et ministères variés, est multiethnique et intergénérationnelle, et est dotée d’une forte composante pastorale qui nous libère, mon épouse et moi, pour diriger, donner une vision et aller de l’avant. Nous avons quitté la vieille outre d’une église locale traditionnelle pour passer à la nouvelle outre d’un centre apostolique.
Il y aurait bien d’autres choses à partager sur les différentes étapes que nous avons vécues dans cette transition. Pour certains, le défi douloureux d’une redéfinition de leur rôle; pour d’autres, la joie de pouvoir exercer leurs dons spirituels plus largement. Je pourrais aussi élaborer sur la liberté ressentie par la congrégation pour embrasser la nature apostolique de notre appel, qui a commencé à s’exprimer par une activation dynamique de ministères variés, autant à l’extérieur qu’à l’intérieur de nos rassemblements. Dans une province francophone qui a la réputation d’avoir un climat spirituel hostile à l’évangile, nous avons retrouvé une joie et une capacité nouvelles à vivre en témoins enthousiastes comme jamais. L’autre phénomène qui s’est produit est l’arrivée autour de nous de toutes sortes d’hommes et de femmes avec un potentiel de leaders – comme une compagnie d’Adullam, prête à donner naissance à de vaillants héros. Activer les saints pour qu’ils entrent dans une grande variété de sphères ministérielles est devenu une passion et une joie.
Ce que je trouve particulièrement encourageant, c’est que dès que l’on réussi à établir une tête de pont, ou à créer un prototype, nous sommes en position d’en aider d’autres à en faire autant; pas de reproduire une structure rigide, mais d’embrasser la nature du neuf. Activer la transformation d’églises locales en centres apostolique est maintenant à portée de main. Je peux dès maintenant entrevoir un grand nombre d’églises qui deviendront des centres comme Antioche ou Éphèse, produisant une vie qui ne pourra être contenue à l’intérieur de leurs murs, envoyant sans cesse des équipes apostoliques dans le pays, déclenchant une révolution spirituelle dans les nations. Le livres des Actes était le commencement. La fin est aujourd’hui.
2 – Relier les centres apostoliques dans des réseaux apostoliques
Le premier récit détaillé du développement d’un réseau apostolique se trouve en Actes 14:21-23, quand Paul et Barnabas étaient sur le chemin du retour après leur premier voyage missionnaire. En passant par les villes qu’ils avaient précédemment évangélisées, ils y désignaient des anciens et recommandaient les églises au Seigneur après avoir jeûné et prié. On peut comprendre que dans ce processus des instructions étaient données et que l’autorité apostolique était exercée. Le voyage complété, Paul et Barnabas retournèrent à Antioche, la base apostolique d’où ils avaient été envoyés. Une autre étape décisive qui vint sceller la naissance de cette première entreprise de réseautage s’accomplit quelque temps plus tard quand Paul dit à Barnabas : « Retournons voir les frères dans toutes les villes où nous avons annoncé la parole du Seigneur, pour voir en quel état ils sont. »12 À compter de ce moment, le reste du récit du livre des Actes est une description de la naissance de communautés géographiques de croyants reliées entre elles dans des réseaux apostoliques.
Même si Paul demeure la figure centrale du mouvement, de plus en plus d’apôtres s’ajoutèrent, soit qu’ils aient étés formés par Paul soit qu’ils soient venus de directions autres. Nous voyons non seulement la sphère de Paul s’élargir, mais les sphères des autres apôtres également. Les églises locales se multiplièrent et apparurent un peu partout. Avec le temps, non sans certaines douleurs de croissance, de véritables centres apostoliques se formèrent, avec une influence dépassant largement leurs frontières. Corinthe et Éphèse en sont des exemples, ou même Thessalonique qui devint un modèle pour tous les croyants des provinces de la Macédoine et de l’Achaïe.13
Aujourd’hui, les temps ont changé, mais le modèle d’origine demeure toujours pertinent. Des églises locales qui deviennent des centres apostoliques, reliés ensemble par des apôtres du 21e siècle avec leurs équipes, présente la structure la plus apte à supporter l’activation des dynamiques du royaume pour la fin des temps. Tout comme les sept montagnes qui influencent la société n’existent pas de façon isolée, les centres apostoliques ne peuvent se permettre le luxe d’exister indépendamment les uns des autres. Posséder une vision globale est l’une des caractéristiques des apôtres, et les centres apostoliques doivent présenter ce même ADN.
D’une façon très pratique, les apôtres qui choisissent de s’aligner avec cette vision sont appelés à développer autant de réseaux que les sphères et les capacités que le Seigneur leur a accordées le permettent. Dépendamment qu’ils soient apôtres résidents ou itinérants14, notre rôle est soit de les aider à transformer leur église locale en centre apostolique soit de les aider à développer leur propre réseau. L’image que je vois se dessiner est celle d’une prolifération de réseaux aux multiples interactions, produisant une grille de puissance pour la gouvernance territoriale.
3 – Établir un alignement pour la transformation territoriale
La réalité des sphères territoriales d’autorité est vivement rendue dans l’incident que nous appelons communément « l’émeute d’Éphèse ».15 La façon hystérique dont la foule cria pendant deux heures le nom de la déesse dont le quartier général pour l’Asie était à Éphèse est particulièrement révélateur. Cet accès de rage était alimenté par des soucis bien plus profonds que les pertes économiques d’une industrie d’un temple païen en perte de vitesse. C’était une réponse directe au progrès du royaume de Dieu dans cette ville. Le centre apostolique que Paul était en train d’établir à Éphèse était devenu un défi insupportable aux forces spirituelles qui régnaient dans cette région. Toute l’émeute n’était rien d’autre que la mise en scène d’une lutte pour la domination territoriale.
Tout royaume divisé contre lui-même est dévasté, et toute ville ou maison divisée contre elle-même ne peut subsister. Matthieu 12:25
Une chose est sûre : pour remporter le combat qui permet d’établir son autorité spirituelle dans une région, il faut qu’il y ait cohésion dans le camp. Si nous voulons voir des régions entières êtres conquises, occupées et transformées, nous devons nous éloigner de façon stratégique de la fin du livre des Juges16 : « En ce temps-là, il n’y avait point de roi en Israël. Chacun faisait ce qui lui semblait bon. » et relier les centres et réseaux apostoliques sous le leadership du seul et unique roi, le Seigneur Jésus-Christ. Ceci demeure, au-delà de toute chose, la plus grande tâche des apôtres de notre temps.
Si ce travail n’est pas réalisé adéquatement, nous continuerons de voir un corps dysfonctionnel de croyants essayant de remplir une mission qui lui échappe entièrement. Les nations regarderont les efforts pathétiques de membres divisés essayant d’accomplir ce que seuls des efforts concertés pourraient jamais avoir une chance de réaliser. Sans relier efficacement les centres et réseaux apostoliques, il n’y a pas de structure globale pour recevoir les ordres du roi et les appliquer de façon ordonnée et stratégique. Au lieu d’un corps en santé et bien proportionné, nous nous retrouvons avec quelques méga ministères qui sont à peine connectés à un ensemble faible et incohérent d’églises locales dispersées.
Mais à mesure que la mise en place de réseaux apostoliques s’effectue, nous pouvons atteindre : « Il a paru bon au Saint–Esprit et à nous », qui définit le type de gouvernance spirituelle inaugurée pour nous dans le livre des Actes.17 C’est un privilège extraordinaire pour des hommes que de pouvoir dire ici-bas : « Le Saint-Esprit et nous », et c’est là que repose le véritable secret de l’autorité pour régner sur la terre au nom de notre Père.
Je vois en vision surgir des apôtres au sein de familles spirituelles saines, en relation les uns avec les autres, bien entourés de compagnies prophétiques, qui tiennent en main les plans célestes et mettent sur pied des opérations globales pour les exécuter, racheter le temps, libérer les captifs et remodeler nos cultures. En nous alignant avec un leadership apostolique coordonné et collectif, des régions et des nations entières seront restructurées. Ce réarrangement fonctionnel des mécanismes de décision exigera beaucoup plus que la table ronde occasionnelle de discussion.
Quand nous considérons les montagnes qui façonnent notre société18, nous réalisons que leur impact réel ne dépend pas tant de la hauteur ou de la force d’aucune d’entre elles prise de façon individuelle que du dessein commun qui les relie pour former une chaîne de montagnes. Avec le développement des centres apostoliques qui progressera, nous pourrons non seulement continuer d’envoyer de plus en plus de personnes remplies de dons pour exercer une influence grandissante sur des montagnes spécifiques, mais nous verrons aussi l’émergence d’un nouveau type de centres qui quitteront l’emplacement traditionnel de la montagne de la religion pour faire la migration vers d’autres sommets.
Le mandat apostolique de relier ensemble les centres et réseaux opérant sur les diverses montagnes donnera naissance à un paysage spirituel renouvelé de chaînes de montagnes. Avec l’émergence de cet alignement géographique, il y aura une synergie des dons qui opéreront avec convergence et efficacité, reflétant l’autorité ordonnée de Dieu pour la transformation de villes et régions entières.
Conclusion
La dernière décennie du 20e siècle et la première période du 21e ont été témoins d’un important réarrangement des forces de l’intercession et du prophétique. Des mouvements entiers ont été créés, tandis qu’une nouvelle lignée de revivalistes se sont levés, refusant d’accepter le statu quo de la société, avec toutes ses injustices morales et sociales. Ces revivalistes ont entrepris un combat pour soit confronter les systèmes qui contrôlent le sommet des montagnes d’influence, soit les infiltrer; dans les deux cas, déplacer les royaumes de ce monde pour les remplacer par le royaume de Dieu est demeuré le but visé. Mais l’action de ces groupes de nouveaux revivalistes n’a pas pu trouver, dans la majorité des cas, d’accueil favorable au sein des outres traditionnelles de nos églises locales. Même le mouvement apostolique naissant, encore jeune et dans sa période de formation, a éprouvé des difficultés à étendre ses ailes hors des espaces étroits d’un christianisme confortable et sécuritaire.
Mais il y a de nouveaux développements à l’horizon. La transformation des églises locales traditionnelles en centres apostoliques change tout le paradigme. Des apôtres, entourés d’équipes apostoliques, peuvent maintenant activer et envoyer les saints dans leurs villes et régions pour avoir un impact dans toutes les sphères de la société. Ces bases apostoliques deviennent des agents de changement majeurs, gagnant influence, faveur et autorité pour remodeler le monde dans lequel nous vivons. Plus que jamais, chacun de ces centres deviendra une ville située sur une montagne qui ne peut être cachée.19
Ce que nous verrons ensuite est un principe d’alignement commençant à opérer dans le corps de Christ, et des leaders aux dons et ministères variés répondre aux appels du Saint-Esprit et prendre leur place respective dans la structure globale que Dieu a pour son église. Les réseaux se multiplieront, mais au lieu d’agir de manière indépendante, ils se développeront en interdépendance. Apôtres et prophètes, reliés les uns aux autres et solidement fondés sur Jésus, auront une autorité extraordinaire pour légiférer dans les lieux célestes et ordonner que les décrets de Dieu soient appliqués sur la terre. Plus qu’un réveil, ce sera un royaume préparé pour le Seigneur.
Alain Caron
Gatineau, Québec, Canada
Juillet 2012
1 – | Ecclésiastes 7:8 |
2 – | Hébreux 11:10 |
3 – | Hébreux 3:1 |
4 – | Actes 20:28 |
5 – | Actes 14:23; Tite 1:5 (sur Tite comme apôtre, voir 2 Corinthiens 8:23) |
6 – | Actes 20:28; Tite 1:9; 1 Pierre 5:1-3 |
7 – | Actes 20:31 |
8 – | 1 Timothée 1:3 |
9 – | Tite 1:5 |
10 – | Galates 4:12 |
11 – | 2 Corinthiens 6:13 |
12 – | Actes 15:36 |
13 – | 1 Thessaloniciens 1:7 |
14 – | Les apôtres résidents dirigent un centre apostolique sur place, tandis que les apôtres itinérants peuvent se déplacer d’un centre à l’autre. Les apôtres résidents peuvent aussi diriger d’autres centres apostoliques à distance, et les apôtres itinérants sont normalement reliés à une base apostolique principale. |
15 – | Actes 19:23-41 |
16 – | Juges 21:25 |
17 – | Actes 15:28 |
18 – | Religion, famille, médias, gouvernement, économie, éducation, arts et divertissement. |
19 – | Matthieu 5:14 |